Ici, on est à Bonne-Ducour. On est en campagne dans une propriété sur laquelle on retrouve 60 acres de terre agricole, 60 acres de boisées et 30 acres de prairies. Aujourd'hui, on fait la mise en marché de la propriété pour s'assurer que tous les espaces sont dégagés pour que les futurs acheteurs puissent être capables de se projeter dans la propriété, voir les comptoirs, les espaces de travail, les dimensions des pièces.
Donc, on se fait une tournée pour être sûr qu'il n'y a rien d'encombrant. On vient de faire notre tournée, on a levé notre chandelle et notre photographe s'en vient. Faire affaire avec un bon photographe professionnel, parce que ça fait toute une différence. Déjà, être en train de prendre une pièce qui est peut-être plus petite, mais qui va réussir à nous montrer tous les angles. Essayer que ça ne paraisse pas trop grand, parce qu'on le sait des fois. On se le fait dire : « Ah, mais ça avait l'air plus grand. »
Dans le temps qu'on veut, c'est reproduire la réalité pour ne pas avoir de déception. On est dans une ère où les gens veulent être autosuffisants. Ici, autosuffisants, il n'y a pas de problème, tu peux l'être. Ça pourrait être un projet familial, les enfants, les parents.
On arrive à la sablière, regardez ça, c'est tout du beau sable. Ça appartient à la terre ici. Il y a des petits cours d'eau, des ruisseaux, des étangs un peu partout.
Là, on est en pleine forêt. Ici, il y a plus d'arbres, donc la neige fond moins vite. Moi, ça m'impressionne. Je trouve que c'est tellement le fun. La nature, c'est pratiquement une thérapie.
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